La violence est une poupée russe
L’exemple des violences ethnoraciales montre que la violence ne commence et ne s’arrête pas à l’altercation physique. Le coup qui a été porté s’inscrit dans une série de violences qui précèdent et dépassent le moment de la confrontation. Des poupées russes, robustes, imperturbables, mais tout à fait charmantes, illustrent la manière dont se décline la violence. Un acte violent arrive-t-il seul et de manière exceptionnelle ?