Restaurer, libérer ou ré-ensauvager la nature ?
À l’âge de l’Anthropocène où l’Homme a été reconnu comme la force de perturbation majeure de la nature sur Terre, sommes-nous aujourd’hui en mesure de réparer nos dégâts ou notre empreinte est-elle indélébile ? Est-il d’ailleurs nécessaire d’intervenir face aux capacités de résilience naturelle des écosystèmes ?