À l'occasion de cette intervention, il nous faudra expliquer ce titre curieux qui réunit les Bee Gees et Dark Vador, et comment il est dorénavant possible d'observer des astres qui n'émettent pas de lumière. Osons le mot : on parlera un peu des ondes gravitationnelles, le big bang scientifique de notre début de siècle !

Julie Aleman raconte les histoires des forêts et des savanes tropicales et l'importance de connaître cette histoire pour mieux orienter les politiques de stockage de carbone.

Une comète nous a rendu visite à l’été 2020. L’occasion pour Fabrice Feinstein de nous parler de trois impacts majeurs des comètes sur le destin de l’Humanité.

Quelle est la forme de l’univers ? Est-il fini, infini, continu, discontinu, plat, chiffonné ? Est-il percé de trous noirs et de trous de vers le connectant à d’autres univers, a-t-il des dimensions cachées ? Et s’il était plus petit que prévu, si des mirages nous donnaient l’illusion d’un univers plus vaste qu’en réalité, créant plusieurs images « fantômes » d’une même galaxie ?

Le soleil n'est pas aussi calme qu'il n'y paraît. Il a un cycle d'activité de 11 ans, au cours duquel l'émission de rayonnement ultraviolet varie du simple au double. Quels sont les impacts de ces variations sur Terre ?

Plusieurs découvertes astronomiques, telles que Neptune, les trous noirs ou la matière noire ont été faites par déduction à partir d’observations secondaires. Ils ne sont pas directement observables par les télescopes mais leurs effets sur les autres astres sont, eux, observables. Comment les astronomes font-ils pour étudier les éléments que l’on ne voit pas ?